Part 6 – 2013 excavations Part 1 Part 2 Part 3 Part 4 Part 5
The following material is taken from the 2013 report of the
archaeological activites under the auspices of the
French School in Rome. Reproduced by kind permission of Sandra
Zanella.
Centre Jean
Bérard (USR 3133 CNRS-EFR), Université de Paris 1 Panthéon
Sorbonne (ED 112 - AOROC - UMR 8546), INHA,
Soprintendenza speciale per i beni culturali di Napoli e Pompei
1. Les opérations
de nettoyage entreprises entre le 12 juillet et le 9 août 2013
visaient à répondre à des questions précises nées lors de l’étude du bâti, en
particulier dans la grande aire découverte centrale, le péristyle 41 et dans
les aménagements de service de la partie occidentale de l’ensemble.
Ces opérations
n’auraient pas été possibles sans l’aide et la sympathie de Lucas Aniceto (Paris 1 ED 112), Marianna Cuciniello (archéologue indépendante), Saverio De Rosa
(archéologue indépendant) et Nicolas Monteix (Université de Rouen) auxquels
vont mes plus sincères remerciements.
Fig. 1 - Pompéi,
Maison des Mosaïques géométriques dans son contexte topographique.
Photo courtoisie
de Sandra Zanella. Agrandir / Enlarge
(jpg, 2,2M)
2. La Maison des
Mosaïques géométriques (fig. 1) est située dans le secteur sud-ouest de
Pompéi, en contact direct avec le forum. Elle fait partie intégrante de la
série ininterrompue des maisons qui, depuis le temple de Minerve jusqu’à la
Porta Ercolano, profitent de la pente naturelle du terrain pour aménager des
terrasses échelonnées vers la plaine du fleuve Sarno. En 79 de n. è. cet
édifice occupe pour son seul rez-de-chaussée une superficie d’environ
3 000 m², à laquelle il faut ajouter les trois niveaux de terrasses
et, sur une partie des pièces, un étage. Cela fait de cette domus l’édifice le
plus étendu parmi ceux actuellement connu à Pompéi.
3. Structurée
comme domus à double atrium vers la fin du IIe s. avant n. è., la
Maison des Mosaïques géométriques accroît sa surface en englobant les parcelles
mitoyennes à l’ouest. Les observations menées lors de l’analyse des murs du
péristyle 41 avaient permis d’avancer l’hypothèse que ce processus ne était pas achevé lors de l’éruption du Vésuve et que
l’édifice aurait alors été encore en chantier.
4. Le déblaiement
précoce de ce secteur de la ville avait favorisé un enterrement naturel des
structures et une occultation conséquente des superficies en usage pendant la
dernière phase de vie de Pompéi. Les opérations ont donc visé à remettre à jour
le plan de circulation en usage en 79 de n. è. dans l’objectif de
compléter l’étude des structures bâties de l’ensemble.
Fig. 2 - Pompéi,
Maison des Mosaïques géométriques. L’aire d’intervention.
Photomosaïque
d’ensemble de pavements et des structures arasées découvertes pendant les
opérations de nettoyage.
Photo courtoisie
de Sandra Zanella. Agrandir / Enlarge
(jpg, 1,3M)
5. Grâce à
l’autorisation de la Surintendance de Pompéi de procéder à l’enlèvement de la
stratigraphie moderne, sur une surface avoisinant les 250 m², il a été
possible de vérifier les hypothèses liées au chantier de construction et de
mettre en évidence une série de pavements et de structures arasées antérieures
aux constructions actuelles et utilisées comme plan de chantier pour ériger ces
dernières. Ces structures ont été dégagées dans les espaces délimités par
l’actuel portique en correspondance des bras nord, ouest, sud, dans le quart
méridional du bras oriental ainsi qu’à l’intérieur de l’aire ouverte du
péristyle. La fouille s’est ensuite étendue au couloir de connexion entre le
péristyle 41 et l’atrium secondaire de l’édifice VIII 2, 14
ainsi qu’à l’espace reliant le péristyle 41 et l’espace 27, objet
d’un nettoyage partiel (fig 2).
Fig. 3 - Pompéi,
Maison des Mosaïques géométriques. Les structures découvertes. Relevé
d’ensemble.
Photo courtoisie
de Sandra Zanella. Agrandir / Enlarge
(jpg, 1,1M)
6. Les recherches
ont pu mettre en évidence une organisation des espaces différente de celle
actuellement visible (fig. 3). Elle prévoyait en effet deux édifices
distincts munis d’un péristyle (41 A et 41 B) sur lequel s’articulaient
différentes pièces. Cette situation a été fortement perturbée par divers
facteurs, avant tout le chantier de construction du péristyle 41 de la Maison
des Mosaïques géométriques dont la mise en place, outre l’arasement des
structures subsistantes, a eu une forte incidence sur les superficies pavées.
En deuxième lieu, des opérations modernes de fouilles ont détruit les
structures pour accéder à la stratigraphie sous-jacente. Les opérations plus
importantes, conduites au centre de l’aire ouverte du péristyle par I. Dall’Osso au début du XXe s., demeurent aujourd’hui
inédites.
(La bibliographie
compte un article introductif signée par I. Dall’Osso 1905.
À cela il faut ajouter le journal de fouille rédigé par le Soprastante
Guido Scifoni conservé à l’archive de la
Surintendance de Pompéi (A VI 5, Janvier-février 1905,
p. 18-22). En 1936, une deuxième intervention de fouilles fut opérée dans
l’angle sud-ouest du péristyle 41 par K. Lehmann-Hartleben dans le
cadre de l’étude architecturale de l’îlot VIII 2, étude
publié en 1936 : Noack – Lehmann-Hartleben
1936).
Le portique sud
du péristyle 41 : l’édifice A.
Fig. 4 - Pompéi,
Maison des Mosaïques géométriques. Les structures découvertes. Hypothèses de
reconstruction.
Photo courtoisie
de Sandra Zanella. Agrandir / Enlarge
(jpg, 760k)
7. Dans le
portique sud (fig. 4), dégagé sur toute sa superficie, ainsi que dans la
partie sud de l’aire découverte centrale, il a été possible de mettre en
évidence les restes de trois pièces alignées, ouvertes vers le sud et le
sud-ouest flanquées à l’est par un péristyle avec deux portiques, l’un sur le
côté sud et le deuxième sur le côté est. La séquence des trois pièces A-C
rappelle dans son schéma l’aménagement que l’on retrouve dans la Maison des
Mosaïques géométriques, quelques mètres plus au sud, dans les pièces ouvrant
sur le panorama de la plaine du fleuve Sarno.
8. La
pièce B et la pièce C sont caractérisées par un pavement en éclats de
calcaire blanc et par un seuil (pièce B) en calcaire blanc avec des
encastrements caractéristiques de forme trapézoïdale. Les parallèles plus
proches sont à chercher, pour le seuil, dans l’atrium principal de la Maison
des Mosaïques géométriques et pour le pavement, dans l’exèdre de l’atrium
secondaire. En d’autres termes, ces structures formaient, dans une phase
précédente la partie postérieure de la Maison des Mosaïques géométriques.
9. Les limites de
ces pièces au nord sont représentées par un mur orienté est-ouest dont nous
conservons un segment à l’angle sud-ouest de l’actuel péristyle 41 dont le
prolongement rencontre l’angle nord-est de la pièce C. En revanche, nous avons
été dans l’impossibilité de dégager la partie au nord de ces deux pièces qui
devait accueillir pour partie l’aire ouverte gravitant autour du péristyle D
mais aussi, comme le suggèrent les tronçons de mur mis au jour entre le
stylobate ouest du portique et le mur est de la pièce A, deux autres espaces
dont le pavement a été observé dans cette même fenêtre réduite.
Fig. 5 - Pompéi,
Maison des Mosaïques géométriques. Le péristyle D. Vue depuis l’angle sud-est
du péristyle 41.
Photo courtoisie
de Sandra Zanella. Agrandir / Enlarge (jpg,
2,4M)
Sur concession du Ministero dei Beni
e delle Attività Culturali e del Turismo - Soprintendenza Speciale per i Beni
Archeologici di Pompei, Ercolano e Stabia.
Toute
reproduction, par quelque moyen que ce soit, est interdite.
10. La cour D est
entourée sur ses cotés sud et est, par une colonnade (fig. 5). Celle-ci
compte deux pilastres, vers le sud, qui semblent indiquer une entrée
privilégiée à l’espace ouvert, alors que sur le côté oriental, une colonne
d’angle et une deuxième colonne en tuiles complètent la structure. Dans un
deuxième temps, 2 des quatre entrecolonnements du portique sont bloqués par un
étroit muret. Les accès obligés à l’espace ouvert central se font maintenant au
sud entre les deux piliers et à l’est entre la colonne d’angle et la colonne
suivante. L’espace central est occupé par un vivier à poissons, probablement
alimenté manuellement en eau. (Voir Dessales 2013, n°88, p. 470-471). Un
trop-plein est situé à l’angle nord-est de la vasque et l’eau était convoyée
vers l’extérieur de la maison à travers une canalisation soigneusement bâtie.
11. L’aire
ouverte du péristyle D (fig. 4) était probablement fermée au nord par un
mur orienté est-ouest dont on a mis au jour les deux extrémités, alors que la
partie centrale a été détruite par les sondages d’I. Dall’Osso.
Ce même mur faisait, selon toute vraisemblance, office de mur mitoyen avec l’édifice
qui se développait au nord.
Le portique nord,
ouest et l’aire centrale découverte : l’édifice B.
12. Les fouilles
pratiquées par I. Dall’Osso au centre de l’aire
ouverte actuelle ont gravement compromis la clarté de lecture de ce secteur
mais le dessin d’ensemble demeure parfaitement intelligible (fig. 4).
L’espace est organisé autour d’une cour centrale entourée de portiques sur
trois de ses côtés alors qu’au nord, un mur continu devait clore l’ensemble.
Les portiques étaient soutenus par huit colonnes en tuf gris, probablement
celles qui ont été réutilisées ensuite dans la latrine de l’espace 27. (La
dernière colonne à l’angle nord-est est bâtie en tuiles, indice d’une réfection
en antique). Le pavement est constitué d’un béton en poudre de lave (lava
pesta), orné d'un dessin géométrique entre les colonnes, réalisé avec des
tesselles de marbre blanc et délimité par une rangée de tesselles blanches
taillées en rhombe. Dans un deuxième temps, des losanges de marbres colorés
sont venus enrichir cette décoration sobre. Disposées en trois rangées en
correspondance des pièces F et G, ils sont dédoublées
devant la porte de la pièce H.
13. Si les
structures sont assez bien conservées dans la partie occidentale, un sondage
pratiqué sensiblement au milieu de l’espace ouvert a permis d’intercepter un
segment de la colonnade méridionale du péristyle, épargné par les sondages
d’I. Dell’Osso. Il s’agit d’une portion
d’entraxe et de l’emplacement d’une colonne décorée à motifs géométriques
caractéristiques de tout le portique et différents dans chaque
entrecolonnement. Ici comme dans le portique occidental, il semble que tout le
stylobate soit réalisé avec des grands blocs de tuf gris dans lesquels les
creusements pour l’installation des colonnes sont aménagés et ensuite revêtus
par la préparation du pavement. Dans le portique oriental, observé seulement à
travers une étroite fenêtre dans sa partie nord, des interventions antiques ont
modifié l’aménagement originel. On remarque en effet l’interruption du canal de
recueillement des eaux, ainsi que le blocage du dernier entrecolonnement par un
muret. Ces aménagements sont à mettre en connexion avec une structure
hydraulique observée dans l’angle nord orientale du péristyle, et dont la
fonction est encore en cours d’évaluation.
Fig. 6 - Pompéi,
Maison des Mosaïques géométriques. Photomosaïque des pavements des pièces G et
H.
Photo courtoisie
de Sandra Zanella. Agrandir / Enlarge (jpg,
2,9M)
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Archeologici di Pompei, Ercolano e Stabia.
Toute
reproduction, par quelque moyen que ce soit, est interdite.
14. Le long du
portique occidental s’alignent cinq pièces communicant
avec le portique même (pièces F, G, H, I et L) et, pour certaines, communicant
entre elles. Elles conservent toutes un pavement en dur exception faite pour la
pièce I, dont nous n’avons probablement pas atteint le plan de circulation
antique. Les pavements des pièces G et H, en éclats de calcaires blancs et
verts, ont comme caractéristique de donner à voir les lignes régulières qui
définissent des rectangles de quelques dizaines de centimètres de côté,
utilisées pour la constitution progressive du sol. La pièce H est décorée en
son centre d'un octogone – dessiné avec des éclats de pierre dans les tons
de vert – inscrit dans un carré (fig. 6). La porte ouvrant sur le
portique présente un seuil fictif réalisé avec des éclats de calcaires colorés.
Cette pièce devait sans doute être au centre de la composition architecturale,
comme le souligne sa propre décoration et la portion de colonnade qui fait
presque office de vestibule d’entrée.
15. D’un point de
vue chronologique, il est possible d’inscrire ces structures, au moins leur
première phase, dans le courant du IIe siècle avant n. è., sur la
base de parallèles stylistiques avec la maison du Faune en particulier.
(Pour les phases de construction de la maison
du Faune voir Hofmann – Faber 2009.).
Le chantier de
construction du péristyle 41 de la Maison des Mosaïques géométriques.
16. Pendant les
années 70 de notre ère, un chantier de construction est mis en place. C’est
probablement à ce moment que les édifices VIII 2, 3-5 et 14-16
(fig. 1) sont achetés par un même propriétaire qui en réaménage la partie
centrale en bâtissant le péristyle 41. Les signes de ce chantier sont bien
visibles sur les superficies des pavements plus anciens. Ils se traduisent par
une série de trous, parfois aménagés avec des moellons pertinents à
l’installation d’échafaudages libres. Ils ont été observés dans différents
points et leurs fonctions spécifiques sont en cours d’évaluation.
Fig. 7 - Pompéi,
Maison des Mosaïques géométriques. La gestion de l’eau dans le nouveau
péristyle 41.
Photo courtoisie
de Sandra Zanella. Agrandir / Enlarge
(jpg, 1,5M)
17. D’autres
traces, bien plus évidentes et préalables à la réalisation des nouvelles
structures, sont constituées par la mise en place d’un réseau de captation et
de gestion des eaux. Quatre constructions importantes, laissées inachevées, ont
pu être observées (fig. 7).
18. La première,
au sud du bras occidental, consiste en une canalisation qui devait capter les
eaux dans la pièce 34 et les acheminer vers une probable citerne dont une
bouche est visible à l’angle sud-ouest du péristyle 41. La canalisation a été
interceptée lors d’un sondage pratiqué par l’équipe allemande pendant les
années 1930.
(Voir Noack – Lehmann 1936, p. 6 ss.)
19. Une deuxième
canalisation, qui se dirige probablement vers la même citerne, est localisée
dans la portion occidentale du bras sud, visible grâce à la saignée en
diagonale pratiquée dans le pavement d’éclats de calcaire.
20. Un troisième
aménagement a impliqué la découpe du pavement de la pièce C dans le sens
nord-sud ; cette ouverture a ensuite été rebouchée avec du béton très
compact. Cette construction doit être mise en relation avec la gestion des eaux
qui, provenant de la toiture du péristyle, devaient être acheminées vers la
citerne dont la bouche se trouve dans la pièce 44.
21. Une dernière
opération concernait le vivier, seule structure de la phase précédente à avoir
été intégrée dans le nouveau bâtiment. Si la canalisation d’écoulement des eaux
pour le trop-plein de la phase précédente demeure en fonction, une importante
tranchée est-ouest a été mise au jour entre la vasque et le mur oriental de
l’actuel péristyle ; remplie de matériel éruptif, elle n’a pas été
explorée.
La latrine 27
Fig. 8 - Pompéi,
Maison des Mosaïques géométriques. La latrine 27 à la fin du nettoyage. Vue de
l’ouest.
Photo courtoisie
de Sandra Zanella. Agrandir / Enlarge
(jpg, 921k)
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Archeologici di Pompei, Ercolano e Stabia.
Toute
reproduction, par quelque moyen que ce soit, est interdite.
22. Le dégagement
partiel de l’espace irrégulier identifié avec le numéro 27 naît de la nécessité
de vérifier l’interprétation proposée par F. Noack
et K. Lehmann-Hartleben qui y reconnaissaient, à la suite d’A. Mau une
latrine à plusieurs places, seul exemple actuellement connu en contexte privé à
Pompéi (fig. 3). Nous avons pu confirmer les observations des chercheurs
allemands et procéder à un relevé des structures dégagées dans l’angle nord-est
de la pièce (fig. 8).
(Voir Mau 1892,
p. 14 ; Noack – Lehmann 1936,
p. 128.)
23. La latrine
s’articule en deux parties séparées par un piédroit, chacune disposant d’une
évacuation des eaux indépendante. Ces deux canaux aboutissent dans une probable
unique fosse septique. La moitié orientale, que nous avons remise au jour,
montre une bouche d’écoulement dans le mur sud du canal. Ce dernier, dont on
conserve par endroit l’enduit hydraulique, a le fond bâti en tuiles dont une
porte le timbre d’un atelier de la gens des Eumachii.
Aucune trace du banc n’a pu être observée, il devait très probablement s’agir
d’une structure en bois. Une rigole aménagée au pied de la latrine était prédisposé pour les ablutions de rite ; la salle était
pavée en béton de tuileau. Il n’a pas été possible de localiser les points
d’adduction en eau qui devaient assurer la propreté et le bon fonctionnement de
la structure.
24. Un
effondrement de la couverture de la fosse septique a été rencontré lors du
nettoyage. Cet écroulement, dû à la disparition des poutres de soutien, a
permis d’observer l’intérieur de la fosse septique. De plan rectangulaire, elle
occupe environ la moitié de la pièce pour toute sa largeur. Pour raisons de
sécurité, il n’a pas été possible d’explorer cet espace, manifestement encore
rempli de matériel éruptif. La latrine semble avoir été en fonction lors de
l'éruption.
25. Les
opérations ont donc pleinement répondu aux questions de l’aménagement de
l’espace dans le péristyle 41. Ces structures, qui attestent une organisation
différente du secteur sud du forum avant les dernières années de la vie de
Pompéi, seront intégrées aux observations conduites dans le reste de la maison.
Elles seront de première importance pour la compréhension des phases les plus
anciennes de ce secteur de la ville.
Dall’Osso 1905 = I.
Dall'Osso, Scavi preistorici di Pompei,
dans Nuova Antologia, 810, 1905, p. 231-243.
Dessales
2013 = H. Dessales, Le partage
de l’eau : fontaines et distribution hydraulique dans l’habitat urbain de
l’Italie romaine, Rome, 2013 (BEFAR, 351).
Hoffmann – Faber
2009 = A. Hoffmann, A. Faber, Die
Casa del Fauno in Pompeji (VI 12). Band 1, Bauhistorische Analyse,
Wiesbaden, 2009 (Archäologische Forschungen, 25).
Mau
1892 = A. Mau, Scavi di Pompei,
dans Mitteilungen des deutschen Archäologischen Instituts, 7, 1892,
p. 3-14.
Noack – Lehmann-Hartleben
1936 : F. Noack, K. Lehmann-Hartleben, Baugeschichtliche Untersuchungen am
Stadtrand von Pompeji, Berlin, 1936.
Sandra Zanella,
« Pompéi. Maison des mosaïques géométriques VIII 2, 3-16 », Chronique
des activités archéologiques de l’École française de Rome [En ligne], Les cités
vésuviennes, mis en ligne le 06 mars 2014.
URL : http://cefr.revues.org/1110
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de Rome
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